Service Civique : Que sont-ils devenus ?

Qu’ils aient réalisé leur service civique au siège de la Ligue 95 ou dans une association affiliée, les jeunes volontaires qui viennent travailler avec les salariés mènent des projets aussi enrichissants pour eux que pour les structures qui les accueillent. Voir l’article « Partir de l’apartheid ». Rappelons que le dispositif permet à un jeune de s’engager de 6 à 12 mois sur une mission d’intérêt général. Que sont devenus ceux que la Ligue accompagne ? Voici des nouvelles de quelques « anciens ».

Hilma Moumini a effectué son service civique à la Ligue de l’enseignement, en tant qu’ambassadrice. Sa mission était d’animer le réseau des volontaires. Aujourd’hui salariée de la Ligue, elle travaille à l’accueil.

Guillaume Debailleux a accompli son engagement au club de l’ASSOA handball. Accompagné par la Ligue de l’enseignement, il a pu bénéficier d’un financement et obtenir son certificat de sports d’opposition. Aujourd’hui il travaille dans un club de handball avec un contrat durée déterminée.

Amandine Sang a été en service civique au sein de l’association À vos jeux. Celle-ci l’a accompagnée à la suite de son volontariat pour préparer un brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport en loisirs tous publics. Son diplôme en poche, elle s’est vue embauchée par Cécile, la directrice de l’association.

Gwendoline Philippe a été volontaire pour l’ACSC karaté de Cormeilles. Ayant cumulé sa mission de service civique et son statut de joueuse, cette jeune fille a fait parler d’elle dans les médias. Au terme d’une finale époustouflante, Gwendoline, 19 ans, a offert à la France sa première victoire à l’Open international de Paris 2019. La karatékate est devenue la première Française à décrocher un troisième titre de championne du monde individuel en kumite (combat).

 

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